L’ARRQ SALUE LA RECONDUCTION DU FINANCEMENT DE TÉLÉFILM CANADA ET DU FONDS DES MÉDIAS, TOUT EN APPELANT À DES MESURES DURABLES
L’ARRQ SALUE LA RECONDUCTION DU FINANCEMENT DE TÉLÉFILM CANADA ET DU FONDS DES MÉDIAS, TOUT EN APPELANT À DES MESURES DURABLES
L’ARRQ SALUE LA RECONDUCTION DU FINANCEMENT DE TÉLÉFILM CANADA ET DU FONDS DES MÉDIAS, TOUT EN APPELANT À DES MESURES DURABLES
L’Association des réalisateurs et réalisatrices du Québec (ARRQ) accueille positivement l’annonce du gouvernement fédéral concernant la reconduction du financement du secteur audiovisuel, notamment la prolongation du soutien de 50 millions de dollars à Téléfilm Canada pour les trois prochaines années. Elle en remercie chaleureusement les ministres François-Philippe Champagne et Steven Guilbeault. L’ARRQ considère cette annonce comme un signal encourageant pour la création francophone et la production indépendante, à un moment où plusieurs secteurs culturels sont menacés.
Ce renouvellement, de même que les investissements prévus pour Radio-Canada, le Fonds des médias du Canada (FMC) et l’Office national du film (ONF), représentent une reconnaissance tangible de l’importance du cinéma et de la production indépendante d’ici.
« Nous obtenons une bonne partie de ce que nous recommandions. Ce n’est pas encore un financement pérenne et la part francophone demeure perfectible, mais dans le contexte actuel, nous pouvons nous réjouir d’avoir été entendus », souligne Gabriel Pelletier, président de l’ARRQ.
Les trois recommandations principales du mémoire de l’ARRQ
Déposé dans le cadre des consultations fédérales, le mémoire de l’ARRQ proposait trois mesures structurantes pour renforcer la production francophone :
- Instaurer un financement pluriannuel et prévisible pour les organismes de soutien (Téléfilm Canada, FMC, ONF), afin de permettre une planification stable et à long terme.
- Augmenter la part du financement dédiée à la production francophone, pour mieux refléter la réalité du marché et soutenir la diversité des voix et des récits d’ici.
- Reconnaître et protéger le rôle central des réalisatrices et réalisateurs dans les politiques publiques et les programmes d’aide, en favorisant leurs conditions de création et leur pouvoir d’initiative.
« Nous aurons encore à nous retrousser les manches, mais nous sommes épargnés par ce qui aurait pu être des coupures importantes. C’est un répit bienvenu et une base sur laquelle il faut continuer de bâtir », ajoute Gabriel Pelletier.
À propos de l’ARRQ
L’ARRQ, qui regroupe près de 1000 réalisateurs et réalisatrices œuvrant dans les domaines du cinéma, de la télévision, du web, de la publicité et de l’animation, défend les intérêts professionnels, économiques et culturels des créateurs et créatrices d’ici. À travers ses représentations, elle veille à la pérennité de la création en français et en tout autre langue que l’anglais et à la place du contenu canadien sur nos écrans.

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